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lieux sacrés et phénomènes inexpliqués

lieux sacrés et phénomènes inexpliqués
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10 juillet 2008

Cathédrale Céleste

Notre-Dame

Corps éternel, impénétrable où le temps ne s'écoule pas,

Boussole, borne indicatrice, repère dans la forêt des symbôles.

Mouvement de pierre, au coeur des mutations,

par toi, l'Univers qui est en l'homme demeure cohérent.

Lieu de la vérité dans son rayonnement, Temple qui se révèle quand nous levons les yeux vers toi.

Epouse céleste du Maître d'Oeuvre.

Le mariage entre l' homme et la création  s'accomplit !

L'invisible peut enfin se marier avec le visible.

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9 juillet 2008

Cathédrale

« Qui que tu sois, si tu veux rendre honneur à ces portes,

n’admire pas l’or ni la dépense,

mais le travail et l’art »

                                                             

                                                            

                                   114___l_int_rieur

                                               Eglise St Thibault ( Bourgogne )                     

9 juillet 2008

Lumière

« Dans l’obscurité ne voyez pas que le côté obscure,

                             Dans la Lumière ne voyez pas que le côté lumineux,

                                                                               Les deux sont indissociables ».

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9 juillet 2008

Des Pyramides aux Cathédrales

Selon l’enseignement des Anciens, la Lumière est en tout lieu et en tout temps. La difficulté, pour les communautés humaines, consiste à la faire exister, à la manifester.

146_4611_IMG4Aussi, pour mieux percevoir cette Lumière qui nous est aussi nécessaire que celle du soleil, avons-nous intérêt à concentrer notre attention sur des monuments où elle rayonne avec force et majesté, comme le Moyen Age des Cathédrales.

 


 

 

L’immense Egypte, ses quatre millénaires de durée, son rôle de centre du monde et ses prodigieuses facultés de création peuvent nous permettre de comprendre  nombre d’éléments de la symbolique médiévale.

Quand saint Augustin écrit : « Cette chose même que l’on appelle maintenant religion chrétienne existait déjà et, parmi les Anciens, elle n’a jamais manqué depuis les origines de la race humaine », il émet un jugement tout à fait extraordinaire. Augustin, dignitaire chrétien très écouté, parfaitement informé des influences gnostiques et ésotériques formant le cœur du christianisme primitif trahi par Rome, voulait ainsi légitimer la nouvelle forme religieuse qu’il défendait. Le plus simple était d’englober les autres religions, et principalement l’égyptienne aux innombrables ramifications, dans le christianisme.

 

 

L’Irlande fut un lieu de passage particulièrement important pour l’ancien répertoire symbolique. Animaux fantastiques,in_tynan formes géométriques telles que les svastikas, roues cosmiques sont présentes sur les stèle et les croix irlandaises. L’iconographie de la cathédrale de Bayeux et le style de ses sculptures sont un bon exemple du mariage qui s’opéra entre l’ancien art irlandais, pétri de traditions moyen-orientales, et le vieux fonds celtique.

Byzance fut aussi un foyer de transmission non négligeable. L’empire byzantin, mi-asiatique, mi-européen, se présentait comme un carrefour d’idées et de courants artistiques.

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voyages et communion d’esprit ?

                                                                           

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On ne doit pas oublier, cependant, que les médiévaux voyagèrent beaucoup, notamment en direction du Moyen-Orient. Bâtisseurs, savants ecclésiastiques cherchèrent très tôt à nouer des contacts avec d’autres cultures. ( Pour moi, les livres d’histoires ne racontent que des faits de batailles, de crimes, d’un monde de brutes afin de nous cacher l’autre facette de ce Moyen-Age au combien prodigieux ! ).

     -  En l'An 333 un Aquitain anonyme rédige un itinéraire de Bordeaux à Jérusalem, « guide » parmi d’autres pour aller vers les Lieux Saints.

      -     En 765, Pépin le Bref envoie au calife Al-Mansour une ambassade. Trois ans plus tard, elle revient en Europe avec des dignitaires arabes qui seront reçus par le roi, à Selles-sur-Cher.

      -    Charlemagne en personne , d’après la légende, serait allé en Terre sainte. Là-bas, il avait découvert des reliques. les faisant venir d’Orient, il les distribua aux églises.

      -    Au début du VIIIe siècle, beaucoup d’objets de provenance orientale arrivaient par le port de Fos.

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-       Au début du IXe siècle, Arles était un grand entrepôt pour ces objets, étoffes, pièces de métal précieux, perles, etc.

-       En l'An 869, une lettre de Thédose, patriarche de Jérusalem, loue la bienveillance des Arabes envers les chrétiens d’Orient. Les musulmans leur permettent de construire des églises, de pratiquer leur foi et de vivre en paix.

 

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-         Au XIIe siècle, un abbé de Cluny, Pierre le Vénérable, convoque une équipe de savants pour établir une traduction du Coran. Sous prétexte de connaître la pensée des infidèles, on avait ainsi un accès direct à une autre formulation religieuse, Saint Louis sut se ménager des entretiens avec son ennemi politique, le cheikh Al-Jabal, qui était à la tête des Ismaéliens.

 

-         Au XIIIe siècle, la ville de Montpellier fut un centre essentiel de trafic ; marchands et chrétiens y venaient en grand nombre, ainsi que des voyageurs de tout le Proche-Orient.

-         Les Templiers, grands voyageurs, surent utiliser le code d’honneur et les rites de chevalerie pour maintenir des contacts étroits avec le monde musulman qu’il fallait théoriquement combattre. ( les Templiers sont l’inventeur du chèque bancaire, que l’on utilise encore aujourd’hui ).

-         N’oublions pas un personnage célèbre et à la fois mystérieux : le Prêtre Jean, souverain d’Ethiopie et de Nubie, qui régnait sur une confrérie hermétique d’origine égypto-chrétienne, les Nestoriens. Il était considéré comme le prince le plus riche du monde, sans doute parce qu’il avait les clefs des traditions symboliques. L’apôtre Thomas, saint patron des Maîtres d’œuvre, était allé jusqu’au royaume du Prêtre Jean pour lui construire son palais selon les règles de l’équerre et du compas.

 

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    Carte du XVIe siècle de la côte orientale de l'Afrique où l'on voit le Prêtre-Jean assis sur son trône dans les montagnes au nord de l' équateur.

 

-         Le sceau du Prêtre Jean n’avait-il pas une profonde signification ? on y voyait la main de Dieu entourée par le cercle des étoiles. N’était-ce pas une invitation au voyage dans le cosmos intérieur, à la recherche d’une action fondée sur un modèle divin ?

 

Dans leurs lointains périples, des voyageurs comme Odoric de Porderone ou Jean de Mandeville redécouvraient l’expérience vécue par les grands sages. Pythagore ou Platon, par exemple, qui étaient partis chercher les secrets de l’initiation. Les chemins du corps importaient moins que ceux de l’esprit.

 

 

 

A savoir :

 

Les Egyptiens sont partout :

- Bijoux, manuscrits, ivoires provinrent en quantité non négligeable de l’Egypte copte, véhiculant ainsi des expressions bien plus anciennes. Notons au passage cette infime précision, pourtant caractéristique : sur les papyrus égyptiens on dessinait à l’encre rouge les premiers hiéroglyphes d’un chapitre. Même pratique dans les ouvrages liturgiques des chrétiens dont on connaît les « rubriques liturgiques », c’est à dire  « les rouges ».

-         C’est l’écrivain Grégoire de Tours qui utilisa le terme vague de « Syriens » pour évoquer les nombreux Orientaux qui s’étaient installés dans les villes.

-         Au VIe siècle ? ces « Syriens » formaient une minorité bien implantée, par exemple à Paris ou à Orléans.

-         Les relations entre l’Egypte et l’Europe sont prouvées à partir de 2000 avant Jésus-Christ et peut-être bien avant !

 

 

Le rôle des moines :

 

En parlant des moines du Mont-Dieu, Guillaume de Saint-Thierry, un cistercien, déclare :  « Ils apportent dans les ténèbres de l’Occident la lumière de l’Orient et, dans les froideurs des cellules, la ferveur religieuse de l’ancienne Egypte. Ces monastères avaient créé des règles de vie sur le modèle égyptien.

-         « Lérins, écrit saint Eucher au début du Ve siècle, possède ces saints vieillards qui ont transporté dans nos Gaules les pères de l’Egypte, en vivant comme eux ». ( Lérins = îles situés près de Cannes, monastère sur la petite île de St Honorat défendu par un Fort avec un temple dédié au dieu Lero. )

 

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A Lérins, donc à Arles, sous l’impulsion d’Honorat, à Marseille, sous celle de Cassien, et en d’autres lieux encore, on fonda des monastères conformes aux enseignements égyptiens.

 

 

 

 

 

 

 

Deux hommes, deux égyptiens, sont à l’origine de ce vaste mouvement : Horseisis, dont le nom signifie « Horus, le fils d’Isis » et surtout Pacôme, à savoir « le prêtre du dieu Chem » ou « celui de Khnoum ». C’est à Tabennissi, en Egypte, que Pacôme fonda un ensemble comprenant une église, un monastère et des ateliers tandis que sa propre sœur agissait de même pour les femmes.

 

 

Ainsi naquirent l’Abbé et l’Abbesse.

 

( Certains passages sont repris dans le merveilleux livre de Christian Jacq : Le Message des Constructeurs de Cathédrales.)

 

8 juillet 2008

Pentacle de protection

Pourquoi avoir tourné l'étoile dans ce sens ?

Certains verront le visage de la bête ou Satan !

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Cathédrale d'Amiens

( voir 2ème blog : Rubrique Pays Cathare )

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8 juillet 2008

Cathédrale St Nicolas de Fribourg

La raison principale de la présence d’un carré magique n’est pas l’activation du lieu. Promenez-vous sur les cases, utilisez votre intuition, vous finirez par en ressentir les effets savamment calculés et mis en place par les maîtres bâtisseurs.

Les tubes magiques

Du chœur partent une série de tubes, appelés " tubes magiques " (lignes jaunes) qui relient la cathédrales à d’autres édifices sacrés de la région. Ces tubes ont été mis en place par magie opérative lors de la construction de l’édifice, d’autres, bien plus anciens, datent des utilisations successives et antérieures de ce site sacré. Lorsque les tubes sont activés, l’énergie arrive en grande quantité sur le point central.

Nous utilisons ces tubes pour nous envoyer des messages à distance. La transmission, basée sur le principe de Morse, est pratiquement instantanée. Ce genre d’expérience est inoubliable pour ceux dont la sensibilité est suffisante pour participer.

Géométrie sacrée

Tout édifice sacré est basé sur les Nombres et la Géométrie. La géométrie utilisée par les bâtisseurs est une géométrie euclidienne dont le tracé, outil de l’architecte, sert à l’élaboration du plan et à la mise en oeuvre de l’édifice.

Il y a un lien direct et naturel entre l’art de dessiner et l’art de construire.

Peut-être faut-il être architecte pour comprendre cela. L’art du trait et l’art de construire relèvent d’une même logique. Les réflexions de certains historiens ou occultistes en tout genre me font bien rire. Je ne leur en veux pas de n’avoir jamais tenu en main une pierre et une truelle, mais quand je vois leur tracé où la majorité des lignes ne correspondent à aucun élément d’architecture, je n’appelle pas cela de la géométrie. Ont-ils seulement pris la peine d’aller vérifier leur hypothèse in situ, avec une chevillère (double décamètre) ? Je l’ai fait et je peux vous assurer que cela marche à 1 ou 2 cm près ! Combien de fois ai-je vu des plans de cathédrale superposés à des Fleurs-de-Vie, à des arbres séphirotiques ou à des étoiles à 5, 6 ou 7 branches ? Ce ne sont que des spéculations ésotériques sans fondement, une projection de désirs sans lien avec la réalité.

Voici la liste des 7 outils géométriques utilisés par les bâtisseurs :

   les rapports musicaux de la gamme diatonique
   les polyèdres réguliers et leur bissection
   les racines carrées et la division sacrée
   le nombre d’or (Phi) et ses dérivés
   l’inscription et la circonscription de polyèdres réguliers
   les quadratures du cercle et
   le cercle et les arcs de cercle.

Ces outils sont décrits en détail dans mon cours de géométrie sacrée.

Tous les édifices construits par des bâtisseurs sont tracés avec au moins un de ces outils géométriques. Ils ont été utilisés avec la même rigueur depuis Sumer jusqu’à la période baroque. Le but de la géométrie sacrée est d’obtenir une cohérence maximale. C’est pour cette raison qu’il faut utiliser le moins possible d’outils géométriques différents. Si, en cherchant le tracé régulateur d’une église, vous découvrez qu’un seul outil géométrique a été utilisé, en plan et en élévation, vous pouvez être certain de détenir la vraie clé.

En voici la démonstration pour la cathédrale de Fribourg.

Que l’on prenne les axes des murs et des piliers ou le volume intérieur (nu des murs), tout le tracé géométrique en plan et en coupe repose sur le nombre d’or (Phi = 1,618) et sur ses dérivés, en particulier sa racine carrée. La nef est composée de rectangles homothétiques dont les diagonales forment un angle de 108º (angle du pentagone). Ces rectangles sont basés sur le nombre d’or, car le rapport entre le grand côté et la demi-diagonale vaut Phi. Je n’en dirai pas plus car le tracé parle de lui-même. De l’édifice entier jusqu’au détail d’architecture, la cohérence est totale.

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Les pierres d'angle

Nous trouvons dans le narthex deux pierres en granit, enchâssées dans un sol en grès. La première pierre est constituée de deux blocs accolés mesurant chacun 29,5 cm par 80,3 cm. Les spécialistes reconnaîtront immédiatement le pied romain. Nous la retrouvons à Fribourg dans la largeur des bases des colonnettes du narthex.

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Notez au passage que le rapport entre le diamètre des colonnettes et leurs bases vaut Phi. La dimension de 80,3 cm correspond à la coudée sacrée locale, à la latitude de Fribourg. Il est difficile de la calculer, en raison de l’aplatissement des pôles de la Terre, mais les Anciens savaient la mesurer de manière empirique en utilisant les étoiles.

La deuxième pierre mesure 29,5 cm par 55,74 cm. La diagonale vaut 63,069 cm soit exactement une coudée sacrée égyptienne. Elle correspond environ au 1/1’000’000e du rayon terrestre. Cette coudée se retrouve dans la cathédrale, car l’entre axe des piliers de la nef mesure exactement 12 coudées sacrées. L’utilisation de la coudée égyptienne et du pied romain nous démontre la filiation historique de l’art des bâtisseurs. Elle crée une résonance subtile avec les Anciens et leur savoir.

Le parcours énergétique

L’analyse géobiologique et énergétique nous a permis de dresser la carte des points positifs et négatifs. Partant de là, nous avons imaginé un parcours logique que nous avons testé, avec quelques variantes, sur plus de 40 personnes. Notre dernière expérience, illustrée sur les schémas, a été minutée et mesurée de façon précise. Le parcours, d’une durée totale de 15 minutes, a été effectué en réglant le rythme des pas, la durée des stations et la respiration sur les battements du cœur. A la fin du parcours, l’énergie de la personne est presque multipliée par 4. Elle est encore du double après 12 heures. Précisons toutefois que ces valeurs peuvent fortement varier d’un individu à l’autre.

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Conclusion

Ce dossier n’est qu’un aperçu de ce que nous avons découvert dans cette magnifique cathédrale après plus de 40 heures de recherches et d’expériences. En parler est intéressant, mais le vivre sur place, émotionnellement et énergiquement, est une expérience toute autre.

Stéphane Cardinaux

Architecte EPFL et géobiologiste

énergéticien, formateur, conférencier
membre de l’Association Suisse d’Ecobiologie

info@geniedulieu.ch 

8 juillet 2008

Cathédrale de Bayeux

L'oeuvre et le temps ont beau être passés,

l'esprit dans lequel les oeuvres ont été opérées continue à vivre.

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Maître Eckhart ( vers 1260-vers 1328 )

l'un des plus grands écrivains du Moyen-Age

7 juillet 2008

Sur le chemin des 7 CHAKRAS DE L' EUROPE

Entre le Xe et XVe siècle, plus précisément le XIe-XIIe siècle, un projet titanesque allait prendre forme à travers l’Europe entière ; les constructions de Cathédrales, véritables chefs d’œuvre architecturale.

 

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Dans quel but ? L’église Catholique imposant son pouvoir face aux anciennes traditions ( druidisme etc.), les confréries initiatiques ont trouvé le moyen pour transmettre leur message aux générations futures, en construisant des édifices sur les anciens lieux de culte. Lieux vénérés depuis des générations et voués à la déesse Mère ( vierge noire )

Parmi toutes les Cathédrales qui ont été bâties pendant cette période en France, 13 d’entre elles sont les plus importantes.

On notera celles de :

Amiens, Noyon, Paris, Reims, Senlis, Sees, Soissons, Bayeux, Beauvais, Chartres, Evreux, Laon et L’Epine. Chacune de ces Notre-Dame renfermeraient un message, celui de l’Ere du verseau. A Chartres le 21 juin 1971 annonçait une étoile entre le capricorne et le sagittaire.

 

                                 

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Cinq de ces Cathédrales retiendront notre attention avec la Cathédrale St Jacques de Compostelle en Espagne, et l’Eglise de Rosslyn en Ecosses, qui possèdent des centres d’énergie cosmique puissants attendant les chercheurs d’éveil. Le pèlerinage de l’étudiant s’effectuait dans un ordre rituel complètement inverse à celui du pèlerinage normal, orthodoxe vers Compostelle.

 

IRHT_091468_p1Pour atteindre cette transformation intérieure ( que l’on peut qualifier d’illumination ), le novice était instruit et guidé par un maître. On éveillait les sept chakras rituellement depuis celui de la base au chakra couronne. Cette énergie puissante, que les écoles de philosophies orientales décrivent comme la montée du serpent portant le nom de Kundalini qui se meut à travers les autres chakras tandis que l’étudiant atteint des niveaux de conscience plus élevés. Il n’est pas étonnant que le symbole associé à la Vouivre, la force tellurique ainsi nommée par les druides et les templiers, soit le serpent.

 

Le premier degré d’initiation :

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St Jacques de Compost

 

IRHT_063299_p1Etait le résultat qui s’écoulait spirituellement de l’éveil du chakra racine qui nous relie à la terre et à la réalité physique. D’après la tradition, il ne peut être ouvert qu’après l’accès à la véritable humilité, car c’est lui qui nous permet de demeurer enraciné.

Le premier degré : le corbeau, symbolise le messager des Dieux ( voir explication en fin d’article ), le nouveau candidat l’accomplissait par un dur labeur et il constituait la première étape de la conversion de l’esprit grâce à laquelle il acquérait la capacité de recevoir les messages des esprits depuis le monde Divin. On lui instruisait d’effectuer le pèlerinage de Compostelle à Toulouse, à l’église construite sur le site ou l’oracle de Mercure ( Mercure était la simple latinisation du Dieu grec Hermès, le messager ailé des dieux ).

 

                                               LE SECOND DEGRE DE L'INITIATION :

 

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ois_158vA Toulouse ( Notre-Dame la Baldade ), on l’introduisait aux mystère du second degré avec l’ouverture du chakra sacré ou abdominal qui relie le centre racine et le plexus solaire et travaille étroitement avec eux. Le second degré porte le nom de « l’Occultisme ». Un paon le symbolise et son plumage représente les nouveaux pouvoirs d’imagination et de morale de l’étudiant. Il y parvenait après avoir atteint son propre espace intérieur et pouvait alors se retirer dans l’isolement caché de son esprit.

 

 

 

  

 

                             Le troisième degré de l’initiation :

                                                 

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fiche_3176Lorsque le novice avait acquis suffisamment de force intérieure et de courage morale pour représenter le bien contre le mal dans le monde, on le nommait Chevalier. La légende des Chevaliers de la Table ronde du roi Arthur concerne desinitiés de ce niveau, tout comme les chevaliers templiers. Ce degré s’achevait par l’entrée dans les mystères de l’oracle de Venus à la sublime Cathédrale d’Orléans.

 

 

 

                                             

 

 

                     Le quatrième degré de l'initiation :

 

 

 

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IRHT_063300_pLorsque les candidats convenablement qualifiés étaient préparés pour la suite de leur progression sur la voie spirituelle choisie, ils visitaient le site du chakra du cœur et recevaient leur initiation dans la chambre souterraine mystique de la Vierge de sous-terre dans la crypte de la Cathédrale de Chartres, l’antique site de l’oracle du soleil. Ils parvenaient au degré du Lion. Le Cygne représentait le signe associé à ce quatrième degré car le chant du cygne symbolise la mort du soi et la réalisation Divine à l’intérieur de la poitrine humaine. Il se voyait accorder le 4ème degré lorsqu’il avait atteint la maîtrise de son processus subjectif afin qu’aucun préjugé inconscient ne vienne diriger ses actions.

Ce degré se reflétait par l’éveil du chakra du cœur, souvent appelé «  la Demeure de la Grâce », liée à la région de la glande du thymus au-dessus du cœur. Ce centre incarne l’union entre les aspects physiques et spirituels de la personnalité. La tradition attribue à ce chakra la couleur verte, couleur de l’initiation et de la renaissance.

 

Les quatre premiers degrés : le Corbeau, l’Occultisme, le Guerrier et le Cygne représentent tous la transformation spirituelle du travail.

 

  

 

 

Le cinquième degré de l'initiation :

 

 

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IRHT_063318_pIl se déroulait dans la chambre sous Notre-Dame de Paris, le site de l’Oracle druidique Mars et était représenté par le Pélican, l’oiseau qui se dévore les entrailles pour nourrir ses petits. Un tel initié vivait pour son nom — par exemple, le Perse, l’ Egyptien, le Grec, L’ Israélite – et vouait sa vie à son service.

Le cinquième centre est le chakra de la gorge et il vient en premier parmi les chakras supérieurs. Associé à la communication, il exige une distinction entre les mots et la pensée réfléchis, et ceux futiles ne produisant qu’un bruit dépourvu de sens. C’est le centre à la fois du discours et de l’ouïe intérieure, il est relié au pouvoir du son.

 

 

 

 

 

Le sixième degré de l'initiation :

 

 

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La Cathédrale d'Amiens

 

 

 

IRHT_094985_pCette initiation se déroulait dans la glorieuse enceinte de la cathédrale d’Amiens, où il acquérait la capacité de se mouvoir et de communiquer dans le monde spirituel ainsi qu’une véritable perception des secrets de l’espace. Il pouvait étendre sa conscience entre la terre et le soleil à l’intérieur du flot temporel.

L’initiation s’effectuait par l’ouverture du chakra du front appelé « troisième œil » ou « œil de l’esprit », et qui est relié à la glande pituitaire. La voyance lui est associée. Il apporte « une  connaissance » directe et gouverne l’équilibre et l’harmonie du système énergétique.

Ceux qui parvenaient à atteindre n’importe quel degré initiatique supérieur, étaient des hommes dotés d’un talent, d’une humilité et d’un dévouement exceptionnels. Seul 24 hommes de grande qualité appartenaient à l’Ordre de la Toison d’or – très influent au début de la Renaissance.

( L' ordre de la Toison d'or, dit aussi la Toison d'or ( avec une majuscule ) ou la Toison, est un ordre de chevalerie autrefois prestigieux fondé à Bruges le 10 janvier 1430 par Philippe le Bon, duc de Bourgogne, à l'occasion de son mariage avec Isabelle de Portugal

 

 

 

 

 

 

 

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( à gauche Philippe le Bon avec son jeune fils Charles le Téméraire portant le collier de la toison d'or )

 

                                                                                          

 

                                      Le septième degré de l'initiation :

 

 

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La chapelle de Rosslyn

IRHT_102043_v_1_La couronne représentait le symbole royal du Roi du Graal. Il lui était révélé la compréhension de toutes les lois à l’œuvre dans la destinée humaine. Le tenant du septième degré recevait le nom de  « Père », car l’initié connaissait les secrets du temps et comprenait le fonctionnement du karma primordial à partir duquel existait Dieu le Père.

Ce degré offrait une perspective de la spiritualisation de la mort, ce qui pourrait expliquer la réputation bien méritée des chevaliers de ne pas craindre la mort au combat. Le site ou s’opérait cette initiation se trouve en Ecosse, dans la chambre cachée ( créée délibérément par le comté William Saint Clair comme point focal de toute voie spirituelle ) de la crypte de la chapelle de Rosslyn. Endroit ancien et vénéré de l’oracle de Saturne lui-même.

La chapelle de Rosslyn incarne l’omphalos ou l’ombilic spirituel du monde.

 

                                         

 

 

 

GUIDE ET MESSAGER DES DIEUX

 

 

 

 

Mais la signification majeure de l'oiseau noir reste le guide et le messager des dieux.

En Afrique Noire, le corbeau prévient les Hommes des dangers qui les menacent; il est leur guide et un esprit protecteur.

Il est aussi le messager du dieu de la foudre et du tonnerre des Mayas.

Il a des fonctions prophétiques chez les Celtes. Bodb, déesse de la guerre, observe les batailles sous forme de corneille. Les cris et le vol des corbeaux étaient d'ailleurs l'objet d'augures. Le corbeau était aussi associé à Bran, dieu des navigateurs (bran signifie corbeau en gaélique) : les navigateurs emmenaient ces oiseaux avec eux pour les lâcher en pleine mer . Leur vol indiquait la direction de la terre. On retrouve cette tradition dans la Bible, avec Noé, en Inde et en Norvège.

En Grèce il possède également des fonctions divinatoires : une corneille se tenait auprès de la Pythie de Delphes pendant ses prédictions. On pense que l'origine de cette fonction de messager des dieux, et plus particulièrement de messager d'Apollon réside dans une légende : Coronis était infidèle à Apollon, et c'est un corbeau qui prévint Apollon. D'où son image de messager, lié aux dieux. Selon Ovide, le corbeau, blanc à l'origine, serait devenu noir par la faute d'Apollon, pour punir ce porteur de mauvaises nouvelles. C'est sous forme de corbeau que le dieu a conduit les habitants de Théra (Santorin)à Cyrène. On dit aussi souvent, chez les Grecs, que le corbeau blanc guide les messagers, ou que le corbeau en général est le messager d'Apollon. D'ailleurs, ce sont deux corbeaux qui ont indiqué à Alexandre le Grand le chemin du sanctuaire d'Amon.

Le corbeau, dans le culte mithraïque, est chargé par Sol, le dieu Soleil; de transmettre à Mithra l'ordre de sacrifier le taureau.

Le Coran(sourate cinq, versets 27 à 30) raconte que les deux fils d'Adam ont offert chacun un sacrifice à Allah. Mais seul celui du fils sincère est accepté. L'autre fils tue son frère. Allah envoie alors un corbeau qui gratte la terre pour lui montrer comment ensevelir le cadavre de son frère. C'est en le voyant que le fils d'Adam est pris de remords.

Au Japon, les corbeaux sont aussi des messagers divins, et en Chine, ils sont les messagers de la déesse des fées, Hsi-Wang-Mu, et lui apportent sa nourriture. Ils sont d'ailleurs de bonne augure.
 

Ainsi, on peut dire que le corbeau est globalement un démiurge ou un messager divin, ainsi qu'un guide. Il guide aussi les âmes en leur dernier voyage, et perce sans se dérouter les secrets des ténèbres.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

6 juillet 2008

Cathédrale St-Nicolas de Fribourg

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Histoire

 Fribourg est une charmante ville située sur un éperon rocheux formé par un méandre de la Sarine. Cet éperon est bordé de trois côtés par des falaises en molasse atteignant 50 mètres par endroits. La ville moyenâgeuse fondée au XIIe siècle s’est développée à partir du XIIIe siècle où de nombreux ordres monastiques sont venus s’installer dans ses murs. C’est en 1283 que le chantier de la cathédrale a débuté avec le soutien financier des bourgeois de la ville. Après de multiples interruptions de chantier, elle fut achevée en 1490 avec la tour de style gothique flamboyant. D’église paroissiale, elle deviendra collégiale dès 1512 avec l’installation d’un chapitre de chanoines, puis siège de l’Evêque en 1615, mais ne sera officiellement désignée comme cathédrale qu’en 1924.

 Choix du lieu

 Le choix de l’emplacement est dû à la conjonction de deux puissants courants telluriques (en rose) à ne pas confondre à des réseaux géomagnétiques. Le courant principal remonte la Sarine, passe par les abbayes de Maigrauge et d’Hauterive, continue sur Lausanne où il se sépare en plusieurs branches. Le courant secondaire venant d’Avenches, capitale politique et religieuse de l’Helvétie romaine se mêle au courant principal dans le chœur de la cathédrale. Une superbe sculpture de vouivre orne l’angle sud-est. La vouivre est une sorte de dragon, symbole druidique des courants énergétiques subtils qui sillonnent la surface et les profondeurs de la Terre.

 

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Un Jacques parcourant le réseau énergétique sacré qui mène à St Jacques de Compostelle !

 

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Saint Mathieu instruisant les Hommes sur les courants énergétiques ?..

 

.Si vous avez la chance de pouvoir accéder au choeur, vous sentirez rapidement l’énergie du courant tellurique vous remonter le long des jambes. Au bout de 3 minutes, tout votre corps est parcouru de fourmillements et votre corps éthérique se dilate jusqu’à plusieurs mètres. La suite ne peut être décrite, car elle doit être vécue.

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 Les phénomènes telluriques

L’orientation de l’édifice est calée sur l’orientation générale locale du réseau Hartmann, soit l’azimut 102º. L’axe principal est superposé à une large bande du réseau Nickel (bande rouge). Nombreux sont ceux qui confondent cette ligne de réseau géomagnétique avec le réseau sacré ou solaire (réseau Or).

Les points les plus importants, comme le centre du chœur et celui des stalles, les autels secondaires, le baptistère, la statue du Christ et la mise au tombeau, sont marqués par la présence de cheminées cosmotelluriques de tailles et de vibrations diverses. Si certaines d’entre elles sont là depuis la nuit des temps, d’autres, plus récentes, ont été "importées" consciemment ou inconsciemment par la psyché humaine. Un lieu de prière va attirer une cheminée positive, vibratoirement élevée, au contraire un lieu de souffrances physiques et émotionnelles va attirer une cheminée négative de très basse fréquence vibratoire. La mise au tombeau est représentée par un groupe de statues grandeur nature qui forme un ensemble absolument remarquable au point que vous avez l’impression de faire partie de la scène. Elle dégage une souffrance permanente et intemporelle dès que vous regardez la scène.

Les courants d’eau

J’ai indiqué sur le plan la présence de trois courants d’eau souterrains. Notez la position, inhabituelle, du baptistère placé exactement à l’aplomb de l’un d’entre eux. Beaucoup de géobiologistes passent leur temps à détecter les courants d’eau dans les lieux sacrés, courants dont ils ne peuvent d’ailleurs jamais en vérifier la présence. Les canaux remplis de galets ne sont pas de soi-disant artifices de bâtisseurs pour amener de "l’énergie éthérique" ou une "information" de l’eau dans l’édifice. Il s’agit simplement d’un dispositif technique servant de drainage des eaux de surface. Ce dispositif, logique du point de vue constructif, se retrouve depuis la plus haute Antiquité aussi bien dans des édifices sacrés que profanes. C’est l’étude approfondie de plans de fouilles archéologiques qui m’a permis d’arriver à cette conclusion. D’ailleurs, ce dispositif n’est mis en place que dans les zones où l’eau de surface à de la peine à s’infiltrer. La dimension et le nombre de canaux sont déterminés en fonction du poids de l’édifice, de la stabilité du terrain et de sa perméabilité.

La présence d’eau dans un lieu sacré, sous n’importe quelle forme, n’a d’intérêt que pour l’information qu’il y a dans l’eau (principe homéopathique) et non pas en tant qu’information "eau". En utilisant ces eaux avec conscience et après avoir activé le lieu, elles acquièrent un pouvoir purificateur et alchimique. Elles décuplent la perception extrasensorielle et établissent un pont vers les entités spirituelles.

 

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 Les réseaux géomagnétiques

Toutes les lignes des réseaux géomagnétiques (lignes vertes et rouges) à l’intérieur de la cathédrale ont été déplacées par magie opérative, méthode appelée de nos jours " psychokinèse ", ou méthode psychobiophysiologique. Contrairement à une idée reçue, les réseaux ne se placent pas naturellement dans les murs et les murs n’ont pas été construits sur les lignes.

Vous pouvez constater sur le plan que les lignes sont démultipliées dans les murs et les piliers. Ce mode de faire relève encore de la magie opérative. Cette démultiplication est en principe proportionnelle à l’énergie cosmotellurique qui circule dans les murs. Le même procédé a été utilisé dans le monde entier, depuis que l’homme crée des lieux sacrés.

Le relevé des réseaux géomagnétiques est une opération de longue haleine, effectuée en général à l’aveugle par plusieurs personnes. En cas de doute, elles sont vérifiées à l’aide d’un instrument qui permet de les entendre. La polarité des lignes est déterminée à l’aide de la mesure du corps éthérique. Cette méthode est décrite dans le dossier consacré au biochamp.

Une autre idée qui circule est que le réseau Hartmann n’existe que depuis l’invention du courant industriel 50 Hz. Il a toujours existé et les bâtisseurs l’ont déplacé, démultiplié et fixé de façon à ce qu’il corresponde et sous-tende la géométrie de l’édifice. Le but est l’énergétisation de la forme, afin qu’elle puisse rayonner vers l’extérieur et vers l’intérieur.

L’avantage de la démultiplication du réseau Hartmann est qu’il nous permet actuellement de détecter des édifices enfouis dans le sol depuis des siècles. La précision est telle, qu’avec la pratique, il est possible d’en faire des relevés avec une précision de quelques centimètres. Cette technique de recherche a été vérifiée en plusieurs occasions sur des objets invisibles en surface, mais dont nous possédions les relevés de fouilles archéologiques. La manière dont les lignes sont disposées ainsi que l’écartement des lignes permet de situer l’époque à la laquelle le bâtiment a été construit. Je collabore dans ce sens avec des archéologues qui ont compris l’intérêt de cette technique de prospection. Ce genre de démonstration apporte la preuve que la géobiologie peut être une science exacte, bien qu’empirique, lorsqu’elle est pratiquée par des gens compétents.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

      

      

La raison principale de la présence d’un carré magique n’est pas l’activation du lieu. Promenez-vous sur les cases, utilisez votre intuition, vous finirez par en ressentir les effets savamment calculés et mis en place par les maîtres bâtisseurs.

                                                      

Le carré magique

La cathédrale peut être activée depuis le carré magique (carré jaune) situé dans l’axe de l’édifice à 12 mètres en avant de la porte d’entrée. Il n’est bien entendu pas dessiné sur le sol, mais il est facilement repérable par le croisement de deux lignes Curry et par un quadrillage formé par une démultiplication volontaire du réseau Hartmann S’il n’y a pas de réseau Hartmann, méfiez-vous de votre mental, votre carré magique n’existe certainement que dans votre tête !

suite...

6 juillet 2008

Cathédrale

« Hommes grossiers qui croyez que ces pierres sont des pierres,

qui n’y sentez pas circuler la sève, chrétiens ou non, révérez, baisez le signe qu’elles portent.

Ici, il y a quelque chose de grand, d’éternel . »

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Cathédrale de Chartres

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