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lieux sacrés et phénomènes inexpliqués

lieux sacrés et phénomènes inexpliqués
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3 juillet 2008

Etranges disparitions

                                    
     James Burne Worson était cordonnier et vivait à Leamington, en Angleterre. Il buvait sec. Lorsqu’il était éméché, il se vantait de ses prouesses athlétiques, et faisait souvent des paris stupides pour démontrer sa force. Le 3 septembre 1873, il paria qu’il courrait d’une seule traite jusqu’à Coventry, et retour, soit un parcours de plus de 60 kms. Il partit sur-le-champ...

      L’homme avec lequel il avait parié et deux autres personnes, Barham Wise, un marchand de drap, et Hamerson Burns, un photographe, le suivaient en voiture à cheval.
      Worson courut fort bien pendant plusieurs kilomètres, avançant d’un bon train sans fatigue apparente, car il avait vraiment une grande endurance. La voiture le suivait à petite distance ; les trois hommes l’encourageaient de temps en temps amicalement ou le brocardaient, selon leur humeur. Soudain, au milieu de la route et à moins de dix mètres d’eux, alors qu’ils avaient les yeux fixés sur lui, Worson parut trébucher, tomba la tête en avant, poussa un grand cri – et disparut ! il ne tomba même pas jusqu’au sol, et s’évanouit avant de l’avoir touché. On trouva jamais aucune trace de lui.
      
     Cette histoire, assez résumée, est extraite d’un article intitulé « mystérieuses disparitions », rédigé par l’écrivain et journaliste américain Ambrose Bierce lequel disparut mystérieusement en 1913 à l’age de 71 ans au Mexique.
                                                                      
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L’ énigme des gardiens de phare  d’Eilean Mor,
                                                                        
                          les îles Flannan, au large de la côte ouest de l’Ecosse

      Le 24 décembre 1900, l’Hesperus navire ravitailleur apportant courriers , vivres et Moore le gardien qui revenait de congé, constata que la lampe de 140 000 bougies du phare était éteinte…Rien n’avait été préparé pour leur arrivée ; sur la jetée, ils ne virent ni caisses d’emballage vides, ni câbles pour l’amarrage...
    
      Leurs coups de sirène de brume répétés ne firent sortir personne du phare. Le phare était absolument vide. Les mèches des lampes avaient été nettoyées et ébarbées, et les lampes remplies de pétrole étaient prêtes à être allumées. La dernière inscription sur le registre était du 15 décembre. Il n’y avait qu’une seule chose inhabituelle : deux des trois cirés et paires de bottes des hommes manquaient. Moore examina le journal de bord, en compagnie du commandant de l’Hesperus. C’est Thomas Marshall qui avait tenu le journal, et de ses brèves phrases surgissait la vision d’une terreur sans nom qui avait envahi les hommes sur leur rocher isolé. Voici ce que lut Moore :
   « 12 decembre. Coup de vent du Nord quart nord-ouest. Mer démontée. Isolés par la tempête. 21 heures. Jamais vu untel ouragan. Vagues très hautes, se brisant sur la phare. Tout est en ordre. Ducas irritable. »
      Moore et le commandant se regardèrent. Le 20 décembre, aucune tempête n’avait été
signalé à Lewis, à 20 milles de là. La remarque sur Ducas était également anormale.
      La suite avait été écrite à minuit le même jour :
   « La tempête fait toujours rage. Le vent ne mollit pas. Isolés ; ne pouvons sortir. Un navire passe en actionnant sa sirène de brume. Je peux voir les lumières des cabines. Ducas tranquille. Mc Arthur pleure. »
      De nouveau, Moore et le commandant se regardèrent. A quelle extrémité en était arrivé le marin aguerri Donald Mc Arthur pour pleurer ? Ils reprirent leur lecture.
   « 13 decembre. L’ouragan a continué toute la nuit. Le vent hale l’ouest quart nord-ouest . Ducas tranquille. Mc Arthur prie. »
   Hier Mc Arthur pleurait ; aujourd’hui il priait.
   « Midi. Le jour est gris. Moi, Ducas et Mc Arthur avons prié. »

Lorsque Moore fut appelé à déposer devant la commission désignée pour enquêter sur cette disparition, il déclara n’avoir jamais vu un de ses camarades prier. Ce ne pouvait être dû à leur peur de l’ouragan, car ils avaient tous affronté des tempêtes au cours de leurs longues années de navigation.
      Sur le journal restait cette dernière phrase :
   « 15 décembre. 13 heure. Tempête terminée. Mer calme. Nous sommes dans la main de Dieu. »
    
       Rien n’avait été inscrit le 14 décembre. Pourquoi ? On ne le saura sans doute jamais ; de même, ce qui s’est passé ensuite demeure un mystère. L’enquête dévoila que, dans la nuit du 15 décembre, le vapeur Archer avait manqué se mettre au sec sur les rochers d’Eilean Mor, parce que le phare était éteint. On peut penser qu’à ce moment les trois hommes avaient disparu…

      Certaines disparitions sont si stupéfiantes que l’on a avancé des explications d’ordre surnaturel. Même une personne sceptique qu’Ambrose Bierce a émis la théorie – fort avancé pour son époque – qu’il y aurait des vides dans le monde visible, de même qu’il existe « des cavernes sur la terre, ou des trous dans un fromage de gruyère ». « Dans de semblables cavités, suggère Bierce, il n’existerait absolument rien. La lumière ne pourrais passer à travers, car il n’y aurait rien pour la supporter. Il ne pourrait en sortir aucun son ; on ne pourrais rien y ressentir… Cette tentative d’explication du phénomène des disparitions ressemble de façon frappante aux théories échafaudées par les physiciens actuels sur les « trous noirs » de l’espace.

                                                                                                                   

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  Un incident extraordinaire,

                                                   qui s’est produit à Bristol, en Angleterre, au petit matin du 9 décembre  1873, peut amener à  conclure à la présence d’un trou noir sur terre.

    La police avait été appelée à la gare du chemin de fer, où l’on avait trouvé un couple d’époux tremblants de peur, vêtu seulement de leur vêtements de nuit. L’homme avait utilisé son revolver. Le couple fut donc arrêté et conduit au poste de police ; le mari, Thomas B. Cumpston, était dans un tel état d’excitation qu’il pouvait à peine s’exprimer ; cependant il ne semblait pas qu’il eût bu, pas plus que sa femme. La police arriva cependant à comprendre leur histoire...
      
      Cumpston et son épouse étaient arrivés de Leeds la veille et étaient descendus à l’hôtel Victoria. Au petit matin, le plancher s’était brusquement ouvert, et Cumpston avait été entraîné dans l’ouverture. Sa femme, après des efforts désespérés, avait réussi à le tirer de là. Ils avaient été si terrifiés qu’ils avaient sauté par la fenêtre et s’étaient enfuis vers la gare. Cumpston affirmait qu’il disait la vérité.
      
      A cela Mrs. Cumpston ajouta certains détails. Elle dit qu’il avaient tous deux entendu dans la soirée des bruits inquiétants, mais que la patronne de l’hôtel les avait rassurés, disant que ce n’était rien. Vers trois ou quatre heure du matin, dit-elle, ils avaient à nouveau entendu les bruits ; ils avaient alors sauté du lit, et senti que le plancher se dérobait sous eux. Ils appelèrent au secours, et leurs cris furent répétés, sans qu’ils sachent si c’était par d’autres voix ou par l’écho de la leur. Puis le plancher s’était ouvert, et ce n’est qu’au prix de grandes difficultés que Mrs. Cumpston avait pu empêcher son mari de disparaître dans l’ouverture.
   
      Lorsque la patronne de l’hôtel fut interrogée, elle confirma avoir entendu des bruits, mais ne fut pas capable de les décrire nettement. La police examina la chambre de l’hôtel, où elle ne découvrit rien de particulier. Les époux Cumpston persistèrent à penser qu’ils avaient couru un très grand danger, mais ils furent considérés comme les victimes d’une hallucination collective…

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  Owen Parfitt, tailleur et ancien soldat, disparaît

                               un jour du fauteuil sur lequel il était assis dans l’entrée de sa maison.

     La porte donnait directement sur une route très fréquentée sur laquelle circulaient en permanence piétons, voiture, et charrettes. Lorsque sa sœur s’aperçut qu’il n’était plus là, elle donna l’alerte et très rapidement des équipes d’hommes battirent la campagne sur plusieurs kilomètres à la ronde. On ne le retrouva jamais. Cela se passait dans la petite cité anglaise de Shepton Mallet en 1768.
      
      Cette histoire n’aurait peut-être pas un grand intérêt deux cents ans plus tard, si l’on n’y ajoutait un fait important. Parfitt, âgé de 70 ans, était infirme, cloué au lit depuis des années, et il ne pouvait bouger sans aide !.
      Un témoin a raconté avoir entendu un grand bruit au moment de la disparition. Ce fut le seul et maigre indice d’un rébus qui n’a jamais été déchiffré.

     Quarante ans plus tard, un squelette fut découvert enterré dans un jardin assez éloigné de la maison d’Owen Parfitt. Ce squelette, couché la face vers le bas comme si le corps eût été jeté là en hâte, était recouvert de soixante centimètres de terre. On crut alors que le mystère de la disparition du vieil Owen était levé. Mais un antagoniste démontra que les ossements étaient ceux d’une jeune femme.

                                          
                ( articles retranscrits d’après mes documents personnels )
                                                                                          Copyright Dane P..

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3 juillet 2008

Cadran solaire ( Mont Sainte-Odile )

 

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Un cadran du XVIII siècle
de l'abbaye Cistercienne de Neubourg

installé au Mont Sainte Odile en 1935.

Il donne l'heure dans plusieurs parties du monde, en Afrique,

en Asie, à Babylone... et bien sûr en Alsace.

 

 

 

 

 

3 juillet 2008

La Sainte-Baume

 

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Oh ! mon arbre

je me sent si fragile face à toi,

tout mon être vibre par ta seule présence

Accepte moi auprès de Toi.

(dane)

 

 

3 juillet 2008

Le tilleul de Sully

Les arbres de la Liberté, arbres de Sully, arbres de place.

La fièvre révolutionnaire devait instituer un rite qui sera repris 200 ans plus tard avec le battage et la réussite que l'on sait : la plantation d'arbre de la Liberté. Après 1789, les estimations fixent à environ 60 000 les arbres dits de la Liberté plantés en France. Il reste aujourd'hui très peu de ces arbres.

27501896_p[1]

 

Sully, ministre de Henri IV, mènera une politique active de plantations d'arbres, notamment sur les places publiques et les points culminants du royaume pour en tracer la carte.

( photo prise dans un petit village près d'Evian-les-bains ).

 

3 juillet 2008

Le mur païen

 

                                                                                                       27498813_p

Le mur païen est une enceinte mégalithique d'une longueur totale d'une dizaine de kilomètres faisant le tour du plateau du mont Sainte-Odile pour former une enceinte. Formé d'environ 300 000 blocs cyclopéens, il fait entre 1,60 m et 1,80 m de large et peut atteindre 3 m de hauteur. Ses origines restent obscures et controversées et source de fantasmes. Certaines origines que l'on attribue au mur tiennent en effet plus des contes et légendes que de faits historiques incontestables. Le qualificatif de païen lui a été donné par Léon IX.

      Les chercheurs n'ont pu définir s'il s'agit d'une enceinte défensive ou d'une enceinte cultuelle, et sa période de construction n'a pas pu être définie. Il semblerait qu'elle remonte au IIe siècle avant JC, mais d'autres auteurs pensent à une construction beaucoup plus ancienne (âge du bronze).

      Le mur a été classé monument historique en 1840. La qualité de conservation du mur est assez variable. Il a en effet servi de carrière au Moyen Âge et a subi diverses autres dégradations. Les collectivités locales et l'État ainsi que le Club Vosgien mettent peu à peu le mur en valeur et réparent les outrages et vandalismes récents dont il a pu faire l'objet, notamment les fouilles archéologiques non autorisées.

27498971_pRécemment, une étude portant sur des tenons en chêne en forme de queue d'aronde retrouvés sur le mur lui a donné la fin du VIIe siècle pour date (soit à peu près la date de création du couvent). C'est une date relativement récente comparativement aux origines pré-romaines voire pré-celtiques communément données. Pourtant cela ne signifie pas que le mur fut construit à cette époque, ces tenons pouvaient faire partie d'un travail de réfection de l'ouvrage.

 

 

 

      Ce lieu est magnifique et magique ! A chacun de nos pas, nous nous sentons transporter au travers des Ages... Quelque chose d'impalpable est là !.

 

117 1 idem

 

 

voir aussi : le blog  de Fleurdevie57

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3 juillet 2008

Le Mont Sainte-Odile

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Le monastère a été créé vers 700 quand le père de sainte Odile lui légua le château de Hohenbourg. Sainte Odile le transforma en couvent.

Très populaire, l'endroit devint un lieu de pèlerinage très fréquenté, notamment par les personnes atteintes de maladies oculaires et accueillit jusqu'à 130 moniales.

En 1789, le couvent est vendu. L'évêché de Strasbourg le rachète en 1853 et le rétablit à sa vocation monacale.

On peut encore voir le tombeau de sainte Odile dans une chapelle attenante au cloître. Les tombeaux de ses parents, Adalric (aussi appelé Etichon) et Bererswinde, y sont aussi conservés, bien qu'ils soient des ajouts plus tardifs (IXe siècle et XIe siècle). Ces caveaux sont ornés de mosaïques remarquables.

( photo dane )

3 juillet 2008

Que d'Amour !

Petit clin d'oeil dans cette magnifique et envoûtante forêt de la Sainte-Baume.

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3 juillet 2008

Un rocher original

A quoi vous fait penser ce rocher ? ....

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...à un joli sanglier couché sur le côté .

3 juillet 2008

Dolmens de TERNANT ( en Bourgogne )

 

Dans le bois, entre Ternant et le hameau de Rolle,

deux dolmens vous y attendent, figés là... par le temps.

 

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2 juillet 2008

Lieux de Cultes

                   Les arbres sacrés, arbres de calvaire, chapelles

Il faut imaginer l'ampleur et la densité de la forêt bien avant l'invasion Romaine et les grands défrichements monastiques pour comprendre la peur et l'admiration qu'elle suscitait et qui sont à l'origine du culte qu'on lui vouera durant des siècles.

Lorsque le christianisme se répand en religion officielle (à partir du IVe siècle), il engage une lutte acharnée contre les croyances animistes. Malgré cela, il semble difficile de lutter contre le culte voué aux arbres.

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