Maison du Temple ( Hte-Savoie )
La Maison fut érigée par les Templiers. Ils y soignaient, dit Léandre Vaillat, les maladies mystérieuses que les Croisés rapportaient de Palestine et de Terre Sainte. Elle devint propriété, au XIVe siècle, des Chevaliers de Malte dont quelques-uns portaient le nom de Moussy.
Voici quelques détails d'art sur ce monument, empruntés à une étude publiée par Paul Jacquet en 1910 dans la Revue Savoisienne et reproduite en partie dans l'Almanach du Mont-Blanc de 1912 que nous avait obligeamment prêté notre ami Georges Fetz.
La chapelle comprend deux constructions distinctes adossées : à l'Ouest, une construction romane de la fin du XIIe siècle ou du début du XIIIe remarquable par son portail, sa corniche arcaturée, ses chapiteaux à corbeilles, ses modillons ornés, son archivolte moulurée, ce portail est d'une simple et remarquable élégance.
A l'Est, la construction est d'un excellent gothique flamboyant. Elle date de la fin du XVe ou du début du XVIe. Le profil des chapiteaux, la base des ogives, l'emploi des contre-courbes donnent à cette façade infiniment de grâce.
Cette chapelle, que l'on classe parmi les meilleurs spécimens de l'architecture religieuse en Savoie,
La commanderie de Moussy était un membre de la commanderie chef des Feuillets dans l'Ain.
Sources : Paul Jacquet, 1910 dans la Revue Savoisienne, article de Paul Français, Image : Le Messager
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Lire aussi mon article sur la Croix de Cruseilles
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Symbole Egyptien
Dans leurs multiples recherches, les deux hommes avaient évidemment songé que les Egyptiens travaillant de profil, le fameux triangle pouvait traduire en réalité un cône. Cette idée se confirmait par une pertinente remarque du Professeur Leclant, le brillant égyptologue et Secrétaire Perpétuel de l'Académie des inscriptions et Belles Lettres. Celui-ci avait remarqué que l'Egyptian Grammar de Gardiner (3eme édition Oxford 1959) dans la sign-list, sous la référence x8 que la définition du DY était Conical Loaf avec, tout de mème, un point d'interrogation. Mais, triangle ou cône, le Dy refusait de parler. La seule remarque qui s'imposait est que, contrairement, aux allégations officielles et candides, le Dy ne pouvait en aucun cas être un bout de pain ou un pain de sucre.
Pourtant, aucune pièce connue ne se prêtait à une quelconque similitude. C'est alors que Gruais-Mouny, progressant dans l'analyse de la coudée royale égyptienne montrèrent que celle-ci ne venait pas de l'avant bras d'un fellah ou d'un pharaon. Elle a la même origine que Phi ou Pi et ils le justifient dans une solide étude. En même temps, ils réfléchissaient sur une des quatre forces de la nature, le graviton, non encore découvert par les scientifiques mais susceptible, selon ces derniers, de porter la gravité (page 133 du Grand Secret du Sphinx).
Si l'on ajoute que les Egyptiens, incorrigibles bavards, qui montrent tout (y compris l'éjaculation, bien technique, d'un Dieu), n'ont jamais indiqué comment furent manipulées les pierres des Pyramides, contrairement à celles des Temples, on peut comprendre que Gruais et Mouny portèrent intérêt à ce problème de graviton. Ils n'aimaient pas le terme de lévitation (qui fait fakir dit l'un d'eux maîs ils pressentaient là un lien avec le Dy (offrande, élévation!?! )
Tout cela débouchait sur la présomption que le Dy devait donner la clé pour accèder au moyen de "casser le graviton" ou du moins libérer de la pesanteur. Le Dy, une grille, la clé de l'apesanteur. Le Dy, une grille, la clé de l'apesanteur attendue dont l'Ankh-Diode pourraît être le moyen de mise en oeuvre !
http://egypte.chez.com/planche49.html
lire également : GUIZEH, au-delà des grands secrets. ( Guy Gruais - Guy Mouni )